
Une nouvelle manière d’inspirer des lectures
Rien de plus étouffant que l’autorité mesquine des petits chefs. Et si on avait la solution miracle?
On se dit parfois qu’il y a quelque chose d’indécent à lire paisiblement, affalé sur son canapé. Toute cette tranquillité, alors qu’on pourrait être en train de lutter à mains nues contre un ours dans les profondeurs d’une forêt…
On aime bien observer les gens, se balader le soir et jeter un œil discret à leurs intérieurs éclairés, imaginer leurs vies, inventer leurs conversations… Un jeu d’abord innocent, jusqu’à ce qu’il devienne carrément obsessionnel.
Si Dostoïevski affirmait que ´la beauté sauvera le monde´, le portrait de Dorian Grey semble vouloir nous prouver le contraire. Et si la beauté, loin d’être une bénédiction, était en réalité une malédiction?
Si la vie domestique est souvent dépeinte comme mortellement ennuyeuse (cf Madame Bovary) voire carcérale (cf la femme gelée), heureusement qu’il y a des Marcel Proust pour nous enchanter à l’heure du goûter.
Un jeune homme se découvre une passion pour la peinture et se fait rapidement un nom dans le milieu. S’en suivent les aléas de la vie d’artiste..
Une falaise en écosse, un couple qui se déchire et une amitié tumultueuse plantent le décor de ce thriller palpitant.
´Si on veut’,´quelque part’, ´à ma connaissance´, ´mais d’où ?’.. toute une flopée d’expressions qui fleurissent nos conversations consciemment ou inconsciemment. Et si on se demandait ce qu’elles signifiaient vraiment?
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